Andreï Konchalovsky, le grand cinéaste russe, réalise, à plus de 80 ans, un chef-d’œuvre de vitalité et de véracité, portant le cinéma au rang d’art sacré.
On peut sans danger avancer l’hypothèse que ce portrait magistral de Michel-Ange est aussi, à la manière du Balzac de Rodin, un magistral autoportrait.
Le grand cinéaste russe Andreï Konchalovsky nous fait partager les doutes d’un artiste de la Renaissance en nous immergeant dans la société de cette époque. Sa mise en scène, à la fois narrative et contemplative, est d’une grande beauté.