MES FRÈRES ET MOI – Revue de presse

Cette chronique touchante s’affranchit des représentations habituelles de la banlieue pour nous émouvoir avec la grâce d’une musique d’opéra.

Ce film intelligent et lumineux détourne brillamment les archétypes pour mieux déconstruire les clichés. Abel, l’aîné, entend jouer les patriarches mais on est plus du côté des bandits de pacotille de la comédie italienne que du Michael Corleone du Parrain.

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