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NOS PLUS BELLES ANNEES – Revue de presse
Le Figaro On se croise. On se perd. C’est la vie, quoi. Elle éclate sur l’écran, dans une bonne humeur communicative, une nostalgie de qualité, avec une modestie de ton qui force la sympathie. Le Parisien Il y a des films comme ça qui emportent tout. On ne cherche pas à évaluer leurs petits défauts ou leurs qualités, on les prend comme ils sont, comme on aime quelqu’un. Réserver vos places en ligne
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LE GRAND JOUR DU LIEVRE – Revue de Presse
Télérama Cette collection de courts-métrages prouvent, à nouveau, la vituosité du studio letton AB, spécialisé dans l’animation de marionnettes image par image. Ses créateurs donnent vie à l’inanimé comme dans Le Grain de poussière, de Dace Riduze (2018), où le mélange de stop-motion et de prises de vues réelles engendre une vraie magie. Réserver vos places en ligne
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ARISTOCRATS – Revue de Presse
Bande à part C’est à Tokyo aujourd’hui et c’est partout : l’histoire d’une femme empêchée par des codes ancestraux et qui, peu à peu, s’en libère et s’évade. Ce film superbe, fluide et tenu, est signé Yukiko Sode. Retenez ce nom ! L’Humanité Porté par deux actrices très connues au Japon, Kadowaki Mugi (Hanako) et Mizuhara Kiko (Miki), distribuées à contre-emploi, Aristocrats déjoue les attentes en mettant la solidarité féminine au premier plan. France Info Culture Yukiko Sode pose un regard aiguisé, mais tendre et ironique, sur la société japonaise d’aujourd’hui. Réserver vos places en ligne
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L’OMBRE D’UN MENSONGE – Revue de Presse
Le Figaro Ce cinquième film bluffe par son audace tranquille, séduit par son sens des paysages, touche par la sobriété de sa tristesse. Bouli Lanners vous attrape par le bras, ne vous lâche plus, comme un frère, vous glisse deux-trois secrets à l’oreille, comme un personnage d’Antoine Blondin qui aurait appris à parler anglais. Positif Voici un film sur la brièveté de l’existence, la compassion, le pardon et sur la Nature qui seule dans ce récit associe la cruauté à la beauté. Voici la vie dans sa finalité. Voici le monde de Millie. À votre tour, vous l’aimerez. Bande à part Sur l’île sauvage et robuste de Lewis, en Écosse,…
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Le portrait de Gaëlle
Je m’appelle Gaëlle ! J’ai connu le cinéma lorsque mes enfants étaient plus jeunes, ils étaient inscrits au club de cinéma pour enfants la « Lanterne Magique ». C’est donc dans la salle du cinéma Le rouge et Noir qu’ils y ont connu leurs premières émotions cinématographiques. Mes enfants devenus plus autonomes, j’ai eu plus de temps libre pour m’investir dans une association. J’ai toujours été attirée par la culture quelle qu’elle soit et c’est tout naturellement que j’ai décidé de participer à la vie du cinéma de ma ville. Au cinéma, on rencontre du monde, beaucoup de monde. On y croise des cinéphiles bien entendu, mais aussi la famille,…