FIRST COW – Revue de presse

Comment ne pas admirer le sens de l’économie de Reichardt, son extraordinaire acuité ? A rebours des vastes transhumances du western classique, il ne lui aura suffi que d’un bovin pour capter une bascule historique majeure.

Un drame envoûtant par son rythme lent qui déploie une mise en scène impressionniste, un scénario minimaliste d’une puissance sidérante. La beauté de chaque plan associée à l’empathie pour les personnages : une leçon de cinéma.

Un éclat brut de la production indépendante, tel qu’on n’en avait pas vu depuis John Cassavetes.

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