À travers ce drame intime, celui d’Aïda, le film évite le piège d’une reconstitution morbide. Au massacre lui-même qui se déroule hors champ, Jasmila Zbanic préfère filmer longuement les visages en gros plan, ceux des victimes comme ceux des bourreaux, afin d’en montrer leur commune humanité.
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