LES INTRANQUILLES – Revue de presse

On salue ici la formidable performance de Damien Bonnard (Les Misérables) en mari rongé par sa pathologie, et de Leïla Bekhti (Le Grand Bain) en épouse exténuée qui sombre irrémédiablement dans une spirale sans espoir. Très fort.

Un portrait de famille, un film d’amour, une plongée dans l’univers d’un peintre tourmenté mais sans aucun cliché.

Le fait est que Les Intranquilles donne le sentiment d’aimer ses personnages. Un élan rare dans l’œuvre de Joachim Lafosse, d’autant plus remarquable qu’il ne fragilise pas son récit mais le renforce, au contraire.

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