Le Figaro Ce film, sensible et perturbant, décrit de manière fascinante l’autopsie d’un amour toxique. C’est en cela qu’il a la force de l’évidence. Et pour cela qu’il dérange. Le Monde La beauté du film de Danielle Arbid est de s’en tenir à ce vœu de simplicité : chroniquer cet amour singulier en l’arrachant aux vieilles lunes du romantisme, sans tomber non plus dans l’étude de cas clinique.

Bande à Part Autour du deuil, de la parole vraie, de l’écoute et de la création artistique, Drive My Car de Ryûsuke Hamaguchi fait naître des moments de cinéma d’une grâce absolue. Une merveille de film. La Croix Le Japonais Ryusuke Hamaguchi embarque un metteur en scène et sa chauffeuse dans une Saab rouge et signe un film éblouissant sur le deuil et le pouvoir des mots. Le Monde La beauté de Drive My Car réside dans sa manière de donner chair à une série d’abstractions et de dispositifs purement théoriques, d’employer toutes sortes d’éléments du médium cinéma pour leur faire dégorger leur sensualité autonome et en faire les instruments…

Les Cahiers du Cinéma Filmer France comme un signe du vivant qui reprend ses droits à la barbe du spectacle, pleurant et respirant sous lui, c’est pour Dumont l’inclure à la cohorte de ses grands personnages mystiques. Non seulement Jeanne, mais aussi les héroïnes de Hors Satan ou d’Hadewijch, prises dans un conflit entre espace concret et immatériel qu’elles ne pouvaient espérer résoudre qu’en invoquant le ciel, en allant le chercher du regard. Le Monde Bruno Dumont offre à Léa Seydoux son plus beau rôle, celui d’une femme détruite par le système médiatique où elle s’est enfermée. Les Inrockuptibles La complexité du regard de Dumont sait mieux que quiconque trouver…

20 Minutes Bac Nord est un excellent film policier anxiogène à souhait. Il offre des séquences virtuoses à l’exemple d’une scène de siège d’une rare intensité. Le Parisien Nerveux, testostéroné, drôle, le long métrage file à un rythme à couper le souffle dans un Marseille aussi séduisant qu’inquiétant. Jusqu’à basculer dans le drame… Autour d’un trio d’acteurs ultra-charismatiques, Adèle Exarchopoulos et Kenza Fortas sont formidables. Culturebox – France Télévisions Nerveux et tendu comme peu de polars français depuis sa raréfaction au cinéma.

Réservez vos places en ligne Télé Loisirs Ce film d’animation made in France, au rythme trépidant et aux touches d’humour rafraîchissantes, offre une alternative bienvenue aux films hollywoodiens du genre. Télé 7 Jours Riche de ses métamorphoses délirantes et de ses poursuites créatives, ce film d’animation français rivalise avec les studios américains. Le décor moyenâgeux, joliment réinventé, ajoute une touche d’originalité.

Réservez vos places en ligne Le Nouvel Observateur Un récit percuté par l’histoire géopolitique du XXIe siècle naissant. Par petites touches pudiques, elle dessine, entre certitudes sentimentales et doutes vertigineux, le désarroi puis la détresse de son héroïne, sans jamais forcer le trait psychologique ni appuyer son coup de théâtre final. Brillant. Les Fiches du Cinéma Histoire d’une passion amoureuse confrontée à la radicalisation, ce drame débute à la manière d’une chronique avant d’opérer un virage habile vers le suspense. À travers ce pari risqué, la réalisatrice vient glisser un propos pertinent sur la culpabilité. Le Parisien Un film fort et émouvant, qui aborde avec une grande justesse un sujet…

Réservez vos places en ligne 20 Minutes Ce film passionnant s’apparente à Dark Waters, de Todd Haynes, par la façon dont il s’inspire de l’actualité pour dénoncer les pratiques scélérates d’industries pollueuses. Positif Une œuvre engagée et passionnante qui brasse nombre de sujets essentiels de notre époque : la défense de l’environnement, le rôle des lanceurs d’alerte, la déliquescence du lien social.

Réserver vos places en ligne Les Fiches du Cinéma Un second long métrage très audacieux, dont le panache assez héroïque n’exclut pas une sensibilité vibrante et délicate Libération A travers l’histoire vraie d’un Japonais qui, sur une île philippine, a continué de se battre pendant trente ans après la Seconde Guerre mondiale, Arthur Harari signe le biopic magnifique d’un homme qui ne voulait ni la paix ni mourir. Positif Loin d’une simple transposition factuelle, l’œuvre s’approprie la matière autobiographique pour lui communiquer une ampleur rarement vue dans un cinéma français que l’on n’avait pas connu aussi ambitieux dans son appréhension de l’épopée et son lyrisme sec. Le focus de Noémie

FILM LABÉLLISÉ 24 LYCÉENS/SEC Réservez vos places en ligne Culturopoing.com Derrière son apparente légèreté entre sa poésie du terroir et son sens de la comédie douce-amère, Louloute se dessine progressivement comme un beau film sur le deuil, une œuvre sur la difficulté d’accepter le réel. Le Parisien Une fois de plus, Laure Calamy transforme chaque séquence où elle apparaît en un moment criant de vérité. Libération Tremblant d’émotion, débordant sans cesse de lui-même, en permanence au bord d’être dépassé par les affects qu’il remue, Louloute d’Hubert Viel (né en 1980) pourrait bien être le film d’une génération : sa version discrète, non clinquante, et absolument borderline.