AU CRÉPUSCULE – Revue de presse

Une œuvre admirable et déchirante, qui vous éblouit et vous secoue comme un chagrin terrible et vivifiant.

Millimétrée, au cordeau, la mise en scène subjugue. Orfévrée dans les teintes gris-vert, évidemment crépusculaire, la photo nous rappelle que le peintre préféré de Sharūnas Bartas est Andrew Wyeth (…) La mélancolie slave est chez Bartas une esthétique et cette esthétique, une ascèse.

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *