LA LOI DE TEHERAN – Revue de presse

C’est haletant sans être jamais binaire, virtuose sans être tape-à-l’œil, et le portrait que, après Jafar Panahi et Asghar Farhadi, Saeed Roustayi donne de la société iranienne est édifiant, sans être moralisateur. La fin est comme le début : à couper le souffle.

Dès les premières minutes, « La Loi de Téhéran » frappe fort. Et ce polar sur l’enfer du crack dans la capitale iranienne contient une demi-douzaine de séquences au moins aussi époustouflantes ensuite.

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