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PRESQUE – Revue de presse
Télé Loisirs Le duo signe un road-movie solaire, initiatique et profondément humain, à l’écriture ciselée, où poésie et cocasserie s’entremêlent avec finesse et tendresse. La Croix La tendre sincérité de Bernard Campan et la candeur espiègle d’Alexandre Jollien, épatant de naturel, font merveille pour nous offrir cette réjouissante échappée belle. Réservez vos places en ligne
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ADIEU MONSIEUR HAFFMAN – Revue de presse
20 Minutes Gilles Lellouche, épatant en « collabo », donne la réplique à Daniel Auteuil et Sara Giraudau dans cette adaptation d’une pièce à succès de Jean-Philippe Daguerre. Ouest France Une leçon d’histoire subtile et terriblement efficace. Réservez vos places en ligne
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LA PORTE DE L’ENFER – Le Focus
Que dire… Palme d’Or à Cannes en 1954 et Oscar du meilleur film étranger en 1955, LA PORTE DE L’ENFER, est de ces films « méconnus » mais qui ont pourtant, à leur façon, marqué le cinéma. Rendu célèbre pour sa photographie et ses couleurs, il est le premier film japonais à utiliser et bénéficier du procédé Eastmancolor (procédé de reproduction des couleurs sur pellicule comparable au Technicolor). Révélé par Jean Cocteau (alors président du jury du festival de Cannes), qui lui attribuera « les plus belles couleurs du monde » et le Grand Prix du Festival (ancêtre de la Palme d’Or), il participera, au même titre que les films de Akira Kurosawa, à…
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LES AMANTS SACRIFIÉS – Revue de presse
Le Point Voici donc l’accomplissement de ce programme, ce magnifique Les Amants sacrifiés, justement récompensé par un Lion d’argent à la Mostra de Venise. Cahiers du Cinéma La force du personnage de Satoko tient à sa façon de ne jamais totalement accepter le sacrifice des sentiments au nom de la politique (…). Son unique crainte face au danger est d’être séparée de Yusaku et, plus que dans la dramaturgie du soupçon, le récit trouve sa tonalité affective propre dans les instants où les époux découvrent dans le partage du risque une nouvelle proximité (…) Réservez vos places en ligne
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IN THE MOOD FOR LOVE – Revue de presse
L’Humanité Sublimement, Wong Kar-Wai brasse le meilleur du cinéma mondial, européen comme d’Extrême-Orient, renonçant aux expérimentations formelles de ses derniers titres pour retrouver le classicisme charnel de ses débuts. Il y a là une oeuvre de la maturité à la maîtrise confondante (…) Le Monde Mis en scène dans une veine sensuelle et pointilliste (…), le film évoque une gravure où les étoiles chinoises Maggie Cheung et Tony Leung (…) semblent ressusciter les figures sublimes et langoureuses de l´amour courtois. Le Nouvel Observateur Combien de films comme celui-ci voit-on dans une vie? Quatre, cinq, davantage, moins peut-être? Peu importe, «In the Mood for Love» est unique. Unique comme tous les…
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WHITE SNAKE – Revue de presse
À venir Réservez vos places en ligne
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LA PORTE DE L’ENFER – Revue de presse
aVoir-aLire Cette magnifique Palme d’or mêlant perfection formelle et puissance dramatique demeure aujourd’hui un des grands classiques du cinéma japonais. Télérama La Porte de l’Enfer s’entrouvre sur un gouffre d’amour et de haine qui engloutit ses protagonistes dans un tourbillon de couleurs fabuleuses Réservez vos places en ligne
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LE SOUPIR DES VAGUES – Revue de presse
L’Humanité En s’approchant du naturalisme et célébrant la vie sur un mode hédoniste, le film atteint une forme d’harmonie au diapason de la présence cosmique que son intrigue évoque sans la préciser. Ouest France Le charme opère par la puissance tranquille d’une histoire envoûtante qui joue avec le spectateur en multipliant les interrogations sans en apporter les clés. Réservez vos places en ligne
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TRUE MOTHERS – Revue de presse
Le Parisien La cinéaste japonaise Naomi Kawase signe un très beau mélodrame sur un bébé adopté dont la mère biologique s’efface, puis réapparaît. CultureBox – France Télévisions Le sujet est traité avec nuances et tendresse, le scénario offrant au bout du compte à chacun, comme une réparation, sa bonne place. Bouleversant. Réservez vos places en ligne
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BELLE – Revue de presse
L’Humanité Cet échafaudage à plusieurs niveaux dépasse en ambition et en raffinement plastique les précédents animes du Nippon, qui a l’énorme mérite de se diversifier constamment et de surprendre de film en film, tout en restant fidèle à ses thèmes et à son esthétique. Première Le film ne se contente pas juste d’être totalement beau et absolument divertissant, mais de nous montrer la possibilité d’un tout nouvel univers. Cahiers du Cinéma Belle, film-somme et nouvelle étape dans la construction de l’œuvre, se déploie sur une dimension supplémentaire, ouvertement référentielle, puisqu’il s’affiche d’emblée comme une relecture du conte déjà fréquenté par le cinéma qu’est La Belle et la Bête de Jeanne…