Décors, costumes, atmosphères de l’époque, tout est brillamment reconstitué, ce sans jamais lâcher la gravité du récit, la mélancolie autodestructrice de cette icône du jazz, et la suavité des séquences plus intimes.
La vision de cette femme se débattant avec les œillères de son époque fait du bien dans l’Amérique de George Floyd. Elle lui restitue une place de pionnière, autant pour les droits des femmes que ceux des Afro-Américains.
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