POUR TOUJOURS – Revue de presse

La fin du film, particulièrement jouissive, est une coda du tonnerre, et on sort de là avec l’impression d’un bonheur précieux, mérité.

Avec humour et en évitant le sentimentalisme, Ferzan Özpetek dresse le portrait émouvant de deux hommes en crise existentielle.

Pour toujours, grand succès en Italie, l’atteste encore, avec sa fine analyse de la crise d’un mariage gay et ses rebondissements tragico-burlesques dans une Rome méconnue, sans tabou, qui, aux meilleurs moments, rappelle un peu Madrid selon Almodóvar…

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