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    THE CHEF – Revue de presse

    L’Humanité Un chef pas tout à fait dans son assiette. Et un plan-­séquence unique d’une heure trente conjugant prouesse technique, qualité d’écriture et jeu inspiré des comédiens. Pour son premier long métrage, le Britannique Philip Barantini réussit un coup de maître en évoquant un milieu dont il connaît les méandres. 20 Minutes La mise en scène virtuose de The Chef fait partager l’expérience des protagonistes avec une telle intensité qu’on demeure essoufflé comme si on avait participé soi-même au service. Le Figaro Porté par une tension dramatique de chaque instant et une interprétation brillantissime, The Chef est bien plus qu’un film sur les petits malheurs d’un restaurant: une réflexion sur…

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    UN MONDE – Revue de presse

    Bande à Part Ce que ce premier long métrage tenu de bout en bout nous dit du réel, sans jamais oublier de faire des images, d’être mouvement et son, est bien plus qu’un film à thèse, c’est une immersion, un voyage dans des sensations qui, bien que d’aujourd’hui, nous ramènent à notre enfance, à nos souvenirs et nos ressentis. C’est douloureux et poignant. Indispensable. Le Parisien Un film magistral sur le harcèlement scolaire. 20 Minutes Il n’est effectivement pas besoin d’être mère ou père pour recevoir ce grand film de plein fouet. Réservez vos places en ligne

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    LYNX – Revue de presse

    Libération C’est une grande goulée d’air pur, un ravissement pour les mirettes, des sons rares et étonnants qui titillent les esgourdes. En ces temps mornes et étouffants, foncez en salles vous faire chouchouter les sens et l’âme avec Lynx, un subtil documentaire réalisé par Laurent Geslin. Télérama […] le résultat se démarque du tout-venant en accordant une place inhabituelle aux sons de la nature, se gardant de les noyer sous une musique surabondante. Réservez vos places en ligne

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    LES LEÇONS PERSANES – Revue de presse

    Voici Sur un fil original et improbable, ce film de facture très classique, porté par deux immenses acteurs, convainc et bouleverse. 20 Minutes Nahuel Pérez Biscayart, Césarisé pour le film « 120 Battements par minute », est bouleversant en faux Persan tentant de sauver sa peau. Le Nouvel Observateur On sort de là avec la gorge serrée et les yeux embués. Précieuse émotion, qui souligne le nécessaire devoir de mémoire… Réservez vos places en ligne

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    ANIMAL – Revue de presse

    Bande à Part Animal est doté de grandes qualités : il dit des choses essentielles, donne la parole à des personnalités inspirantes (comme le passionnant philosophe Baptiste Morizot ou la primatologue et anthropologue anglaise, Jane Goodall) et croit ferme dans le pouvoir du cinéma à influencer un futur respirable. LE film à voir en famille actuellement. L’Humanité Animal, c’est un petit manuel de lutte, remarquablement filmé, pour sauver le climat et la biodiversité. Et donc les humains. Libération C’est du côté du message que le film est ambitieux, car il ne se contente pas du sempiternel appel à la protection de la biodiversité. Bella et Vipulan prennent avec nous conscience…

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    PRESQUE – Revue de presse

    Télé Loisirs Le duo signe un road-movie solaire, initiatique et profondément humain, à l’écriture ciselée, où poésie et cocasserie s’entremêlent avec finesse et tendresse. La Croix La tendre sincérité de Bernard Campan et la candeur espiègle d’Alexandre Jollien, épatant de naturel, font merveille pour nous offrir cette réjouissante échappée belle. Réservez vos places en ligne

  • Revue de Presse

    ADIEU MONSIEUR HAFFMAN – Revue de presse

    20 Minutes Gilles Lellouche, épatant en « collabo », donne la réplique à Daniel Auteuil et Sara Giraudau dans cette adaptation d’une pièce à succès de Jean-Philippe Daguerre. Ouest France Une leçon d’histoire subtile et terriblement efficace. Réservez vos places en ligne

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    LA PORTE DE L’ENFER – Le Focus

    Que dire… Palme d’Or à Cannes en 1954 et Oscar du meilleur film étranger en 1955, LA PORTE DE L’ENFER, est de ces films « méconnus » mais qui ont pourtant, à leur façon, marqué le cinéma. Rendu célèbre pour sa photographie et ses couleurs, il est le premier film japonais à utiliser et bénéficier du procédé Eastmancolor (procédé de reproduction des couleurs sur pellicule comparable au Technicolor). Révélé par Jean Cocteau (alors président du jury du festival de Cannes), qui lui attribuera « les plus belles couleurs du monde » et le Grand Prix du Festival (ancêtre de la Palme d’Or), il participera, au même titre que les films de Akira Kurosawa, à…

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    LES AMANTS SACRIFIÉS – Revue de presse

    Le Point Voici donc l’accomplissement de ce programme, ce magnifique Les Amants sacrifiés, justement récompensé par un Lion d’argent à la Mostra de Venise. Cahiers du Cinéma La force du personnage de Satoko tient à sa façon de ne jamais totalement accepter le sacrifice des sentiments au nom de la politique (…). Son unique crainte face au danger est d’être séparée de Yusaku et, plus que dans la dramaturgie du soupçon, le récit trouve sa tonalité affective propre dans les instants où les époux découvrent dans le partage du risque une nouvelle proximité (…) Réservez vos places en ligne

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    IN THE MOOD FOR LOVE – Revue de presse

    L’Humanité Sublimement, Wong Kar-Wai brasse le meilleur du cinéma mondial, européen comme d’Extrême-Orient, renonçant aux expérimentations formelles de ses derniers titres pour retrouver le classicisme charnel de ses débuts. Il y a là une oeuvre de la maturité à la maîtrise confondante (…) Le Monde Mis en scène dans une veine sensuelle et pointilliste (…), le film évoque une gravure où les étoiles chinoises Maggie Cheung et Tony Leung (…) semblent ressusciter les figures sublimes et langoureuses de l´amour courtois. Le Nouvel Observateur Combien de films comme celui-ci voit-on dans une vie? Quatre, cinq, davantage, moins peut-être? Peu importe, «In the Mood for Love» est unique. Unique comme tous les…